Trouver ton bon endroit
Créer sa vie même quand on a l'impression qu'on raté trop d'occasions
Bonjour,
la rentrée est passée et nous avons tous repris le rythme effréné du quotidien. Et ça va aller très vite. As-tu réalisé qu’hier nous étions à 100 jours de Noël ? Et c’est ainsi que les années défilent tranquillement… ou pas. Vaste sujet.
Mon actu de la semaine
J’ai lancé mon nouveau podcast Cheveux Blancs et Idées Longues. Tu auras compris le jeu de mots pour le nom.
Voici l’idée derrière ce podcast : Entreprendre à 40 ans ou plus c'est possible. Même sur internet. Même en étant créateur de contenu. Même en ayant été salarié pendant tout le début de sa carrière. Et même si on n’a pas idée comment faire concrètement.
Le podcast aborde les meilleures stratégies pour construire le business et la vie de tes rêves. Ce podcast creuse des sujets comme le marketing, l'entrepreneuriat, l'organisation, l'état d'esprit.
J’ai aussi migré tout mon espace de formation. Il est beaucoup plus agréable et beau. Et ça compte beaucoup pour le rendre plus accueillant. Je l’ai aussi renommé en Ecole des Champions car je veux t’aider à devenir Champion.ne du Monde de Ton Monde. Au fait, pas mal de programmes sont en promotion pour l’occasion, jette un oeil 😉
Tu peux aussi :
lire les éditions précédentes
Allez c’est parti ! 👈 as tu remarqué que c’est la phrase signature de toutes mes intros de tous mes podcasts ?
Trouver ton bon endroit
Es-tu capable de répondre à ces trois questions :
Qui suis-je ?
Qu’y a-t-il d’important dans ma vie ?
Qu’est-ce qui me satisfait ?
Pas simple n’est-ce pas ?!
Je n’ai jamais caché que j’ai cherché mon Ikigai pendant plusieurs années, avant de me rendre compte que je le vivais déjà. Qu’il fallait surtout que je trouve le moyen de le pérenniser en me transformant en vrai entrepreneur et pas seulement créateur de contenu. J’en parlerai cette semaine dans le podcast Cheveux blancs et idées longues.
Il est normal de se poser ces questions un jour ou l’autre. Et même régulièrement.
Pendant l’enfance nous vivons dans un monde protégé. Puis l’adolescence, les études, le début de vie professionnelle amènent des périodes de crise. On quitte des systèmes protégés et beaucoup dirigés par les autres pour faire des choix de vie. On bascule alors dans un nouveau monde qui nous secoue profondément.
Nous rêvons alors d’un avenir bien particulier. Nous y ajoutons des désirs personnels. Et aussi des craintes. Ainsi que des bagages parfois un peu lourds à porter. Ces sentiments entrent alors en conflit les uns avec les autres.
Pendant notre adolescence, on nous a beaucoup vendu le rêve d’un choix de carrière et d’une vie tracée si on trouve le métier qui nous plait. Pour beaucoup ce scénario idéal s’est fracassé sur la réalité du quotidien.
Les générations de nos parents faisaient souvent le même métier. Travaillaient dans la même entreprise. Beaucoup avaient aussi la sécurité du CDI. Ils enchaînaient les promotions pour se diriger tranquillement vers le verger de la retraite pour profiter des fruits de leur labeur. C’est ce que nous a vendu.
J’ai rapidement compris que ça ne fonctionnerai pas comme ça. Que ça venait du monde du travail. Mais que ça venait aussi de moi. Que le prix a payé pour avoir une retraite confortable selon ce modèle est trop lourd à vivre au quotidien. Surtout quand la retraite devient hypothétique. Que mes aspirations changent régulièrement.
Régulièrement j’ai donc ces crises.
Cette impression de ne pas être adapté. De ne pas rentrer dans le moule. D’être inemployable non pas par manque de compétences mais par inadéquation de mes aspirations et compétences avec le fonctionnement des entreprises ou services où je travaillais. J’ai payé le prix fort. Il y a 13 ans j’étais arrêté pour cinq mois puis sous anti-dépresseur pendant deux ans.
Le chemin est bien plus tortueux que celui qu’on m’avait vendu. Mais je le trouve aussi plus passionnant. Il est jonché de plus ou moins gros cailloux. D’obstacles. De crises. De difficultés. De sentiment que ça n’avance pas. Que chaque rayon de soleil est vite suivi de gros nuages et d’orages. Mais que je suis au bon endroit. Mon bon endroit.
A travers chaque crise j’ai appris de nouvelles choses sur moi. Sur ce que je vais faire. Sur ce que je veux transmettre à ma fille. Je me suis questionné. Je me suis formé. J’ai beaucoup réfléchi. Trop.
La semaine dernière je te parlais de l’importance d’être dans l’action. De tester les choses et pas seulement les imaginer et les rêver. C’est l’état d’esprit que m’apporte aussi le sport. Mon aventure à vélo par exemple m’a montré que je pouvais faire bien plus que j’imagine avec un peu de rêve, de méthode et d’action.
Pour finir je te propose un outil pour questionner tes désirs les plus puissants et leur impact sur tes décisions.
Quand tu prends une décision confronte là à tes désirs essentiels et ce qui compte vraiment pour toi. C’est ainsi que tu définis ton bon endroit.
Liens
L’étonnante reconversion de Jigmé, le youtubeur humour à succès
Mobygratis : le musicien Moby a sélectionné 200 chansons libres de droits pour utiliser dans des vidéos et podcasts.
Le classement des villes les plus agréables pour les piétons. Pas de scoop si je dis que Clermont a un score détestable. J’espère que c’est mieux chez toi.
En ce moment je lis les livres d’Alex Hormozi. Je pense que tous les marketeurs du monde font ça en ce moment. J’ai dévoré L’offre à 100 millions 🇫🇷 qui était le volume 1 de sa collection et j’ai bien avancé dans 100 millions leads 🇺🇸 le volume 2 sorti il y a quelques jours. Si tu t’intéresses au marketing c’est très très intéressant.
L’astuce
Il existe de nombreux outils numériques pour s’organiser et gérer ses tâches. Mais je pense que j’ai toujours été bien plus efficace en m’organisant avec mon cahier de bullet journal. Cependant j’apprécie aussi le numérique qui permet plus facilement de déplacer les tâches, de créer aussi des tâches qui reviennent régulièrement. Depuis quelques temps j’ai adopté TeuxDeux pour gérer mes tâches quotidiennes.
L’outil est simple et réplique exactement ce que je faisais dans mon cahier. Une colonne par jour, les tâches à faire ce jour et pas plus. Et si une tâche n’est pas faite un jour, elle se déplace automatiquement le jour suivant. TeuxDeux ne permet pas de gérer des projets complexes mais il est très efficace et rapide pour gérer le quotidien.
La citation inspirante de la semaine
“L’homme sage apprend de tout et de tout le monde. L’homme normal apprend par expérience. Et l’homme stupide sait tout mieux que personne.” — Socrate
A la semaine prochaine
Merci pour la lecture de cette lettre. N'hésite pas me répondre et à la faire suivre à tes amis pour m'aider à la faire connaître. Garde le sourire et soigne ton énergie créative !
xoxo
Bertrand
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